Aveyron-Pigüé : la musique pour entretenir l’amitié

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Les échanges pédagogiques et culturels constituent un axe fort de la coopération entre l’Aveyron (et notamment le Département) et Pigüé. C’est par la musique que passe aujourd’hui cette relation particulière entre le département et la ville créée par les migrants aveyronnais en Argentine à la fin du 19e siècle.

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Centre des arts Artimusa

Ils sont quatre, représentant le centre des arts Artimusa de Pigüé, dont l’objectif est de permettre l’accès de tous à la pratique artistique et culturelle, dont la musique.
Quatre (chanteuse, professeurs de guitare, de piano…) qui séjournent deux semaines en Aveyron, sur invitation du Conservatoire de musique à rayonnement départemental. Le travail est fondé sur la formation dispensée aux professeurs et grands élèves du Conservatoire, sur l’action auprès des élèves et sur l’éducation artistique pour les scolaires. Sans oublier trois concerts donnés à Villefranche-de-Rouergue, Saint-Côme d’Olt et Rodez, comme le précise la directrice du Conservatoire, Martine Hénault.

Le lien culturel

La délégation argentine a été reçue, en musique,  jeudi 20 novembre au Département par le vice-président en charge de l’international, Pierre-Marie Blanquet, et celui de la culture, Jean-Michel Lalle.
L’un et l’autre se sont félicités de cette initiative, en soulignant l’importance du lien culturel dans la coopération internationale.
La musique sera encore à l’honneur début décembre à Pigüé, qui fête le 130e anniversaire de sa fondation. Les Aveyronnais y seront présents, notamment avec le groupe folklorique Lo Bourreïo d’Olt.
 

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