Devoir de mémoire et de réconciliation

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La célébration nationale à la mémoire de toutes les victimes, militaires et civiles, de la guerre d’Algérie et des combats au Maroc et en Tunisie s’est déroulée vendredi 5 décembre devant le monument départemental de La Primaube, en présence notamment du préfet Jean-Luc Combe, du sénateur et président du Département Jean-Claude Luche, du maire de Luc-la-Primaube Jean-Philippe Sadoul, des représentants des anciens combattants.

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Courage et souffrance

Dans son message lu par le préfet, le secrétaire d’Etat aux anciens combattants insiste sur le courage et la souffrance de tous ceux qui ont été engagés dans ces conflits, qu’ils soient militaires, civils, rapatriés, harkis, membres des forces de l’ordre… morts, blessés ou disparus.
« Dans cette région du monde qui connut avec la France le meilleur et le pire », la guerre démarrait il y a tout juste 60 ans.
C’est donc, a dit le préfet, à la fois un devoir de mémoire et de réconciliation comme gage de paix qui est au centre de la célébration du 5 décembre, créée en 2005.
  Appel des morts aveyronnais, dépôt de gerbes et chant de la Marseillaise ont rythmé la cérémonie, en présence des élèves de l’école Saint-Jean.

 

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