Aveyron Labo : l’innovation au service du développement

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Accueillant le préfet Louis Laugier et le président du Département Jean-Claude Luche, lundi 14 mars, le président d’Aveyron Labo a estimé que cette visite était la reconnaissance du savoir-faire d’une équipe. Un savoir-faire récompensé par la place essentielle que prend le laboratoire aveyronnais dans la déclinaison de métiers qui exigent d’être toujours en pointe de l’innovation. C’est le cas ici avec un projet de génomique ovine et bovine.

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Un outil au service de l’agriculture

Santé animale (plus de  la moitié de son activité), salubrité des aliments, eau, environnement… Aveyron Labo s’est taillé une place enviée sur la carte française. Sur un chiffre d’affaires de près de 6 M€, 40% de son activité est réalisée hors Aveyron et se répartit sur 80 départements.

Le Département, a indiqué le président Luche, participe pour 1,4 M€ à  à son activité (avec la prise en charge  notamment d’une part du coût des analyses). Car il s’agit bien d’abord d’un « outil au service de l’agriculture », a-t-il indiqué, qui obtient d’excellents résultats dans un domaine très concurrentiel, avec un effectif de 80 personnes (dont 58 femmes, ce qui lui a valu le prix régional de l’égalité professionnelle).

Levier de croissance

Aveyron Labo, désormais GIP (groupement d’intérêt public) réalise 1 500 000 analyses par an. Il mise beaucoup sur l’innovation au travers de son service de recherche et développement, plus particulièrement en chimie et en génomique.

Ses travaux dans le domaine de la biologie moléculaire en font un acteur reconnu au niveau national.

Pour le directeur, Roland Brugidou, cette action d’innovation représente un véritable levier de croissance pour Aveyron Labo.

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