Le président Jean-Claude Luche a dénoncé sur ce dossier « l’incohérence et le manque de transparence du gouvernement »
Sur les critères actuels, 160 communes de l’Aveyron (soit 150 de plus que le classement 2012) sont concernées.
Le Département estime notamment que l’Etat « a durci les critères sans concertation et sans aucun argument scientifique ». Il estime que l’Etat «a occulté le fait que le risque d’eutrophisation n’est pas dû uniquement à un problème de nitrates mais à la combinaison de plusieurs facteurs… ».
Pour la collectivité départementale, «cette proposition de classement a conduit à des incohérences, notamment pour des communes qui ne seraient concernées que très partiellement mais dont la totalité de leur surface est désormais classée en zone vulnérable ».