Les solidarités et l’attractivité
Dans son intervention introductive, Jean-Claude Luche a rappelé les « deux points d’ancrage de ce budget » : les solidarités entre les Aveyronnais et les territoires aveyronnais et l’attractivité du département.
Chaque jour, c’est 1 M€ que le Département consacre aux Aveyronnais, a indiqué son président en laissant le soin au rapporteur du budget, Jean-François Galliard, d’en donner le détail secteur par secteur.
Ainsi 42, 5% du budget sont consacrés au social (156,4 M€) et les investissements s’élèvent à près de 50 M€. Ce qui correspond, a souligné le président Luche, à la création de plus de quelque 127 emplois pendant un an.
Un budget de relance
Pour le président de la commission des finances, André At, il s’agit «d’un budget de relance qui doit profiter à l’économie aveyronnaise ». Mais, a-t-il prévenu, le cap de la rigueur de gestion sera maintenu.
Le propos de l’opposition (Jean-Dominique Gonzalès et Régis Cailhol) a essentiellement porté sur les apports de l’Etat et du fonds de péréquation entre les départements dans les recettes du budget 2014 et sur la critique des choix des priorités par la majorité.
A noter que le taux de l’impôt qui relève de la responsabilité du Département, le foncier bâti, reste inchangé pour la 3e année consécutive.